Le Temps, Ombre Insaisissable


 Il court, le temps, comme un vent effréné,

Invisible et pourtant, maître de nos vies,

Chaque seconde s’égrène en silence,

Gravée dans l’ombre d’une danse immense.


Il crée l’aube et meurt avec le jour,

Emportant nos rêves dans un souffle court.

On croit le saisir, l’étreindre d’un geste,

Mais il s’échappe, poursuivant sa quête céleste.


Oh temps, miroir de l’éphémère,

Gardien des songes et des mystères.

Peux-tu suspendre ta course un instant,

Et nous laisser goûter l’éternel présent ?


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