Et que la douleur semble infinie,
Je me souviens qu’au bout de la nuit,
Le jour renaît, doux et fragile.
Les épreuves dressent leurs murs,
Mais ils ne sont que d’ombre et de vent.
Même au cœur du plus grand silence,
Une lueur, aussi mince soit-elle,
Peut ranimer la force d’un rêve.
La vie est une mer agitée,
Où chaque vague tente d’engloutir,
Mais l’espoir, comme un phare lointain,
Reste là, immobile et lumineux.
Rien n’est permanent,
Ni la souffrance, ni la peur.
Le temps érode jusqu’à la pierre,
Et l’homme, fragile voyageur,
Trouve toujours une voie nouvelle.
Car l’espoir, lui, est éternel,
Il brille sans fin,
Comme une étoile
Perçant les ténèbres les plus profondes.
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