Laisser partir, mieux grandir
Quand les larmes veulent parler,
Je souris et je cache mon mal,
Je prends le train, je laisse l’ombre,
Pour ne pas me perdre dans l’hôpital.
Je quitte le quai, je laisse filer,
Les bateaux, les rêves passés,
Dans un souffle, je me relève,
Il est temps de tout oublier.
Les souvenirs lourds comme des chaînes,
Ont perdu leur poids sur mes épaules,
Partir sans un regard en arrière,
C’est plus doux, c’est plus fort, c’est ma route.
Ce n’est pas facile, mais c’est ma voie,
C’est mieux ainsi, même si je doute,
Car parfois, la paix naît dans le silence,
Et grandir, c’est accepter de lâcher prise.
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